Compte rendu de la rencontre avec Innocent yapi à prpos de la poésie africaine
Voici le texte de Maeva
Le vendredi 15
mars 2019, nous avons eu l’honneur de faire la rencontre du conteur Innocent
Yapi (Yapi-Yapi) qui est le père de notre camarade. C’est grâce à notre
professeur de français madame Ottenwelter que nous avons eu la chance de faire
sa connaissance. Monsieur Yapi est venu pour nous faire découvrir
« qu’est-ce que la poésie africaine ». Pour commencer le conteur
s’est présenté, nous a montrer sa famille, il est originaire de la Côte
d’Ivoire, ce qu’il fait dans la vie en tant qu’artiste etc… Ensuite, il a écrit
quelques mots au tableau tels que : l’amour ; le respect ; le
choix ; la négritude et l’ouverture. Tous les mots qu’il a inscrits, il
nous les a expliqués en donnant des exemples de poésie faite par des poètes africains.
Mais cela renvoyait tous au genre de la poésie de la négritude.
La négritude est née de la rencontre afro-américaine et c’est une lutte pour le droit civique des Américains noirs et des antillais à Paris. Les noirs n’étaient pas considérés comme des hommes ils venaient de subir l’esclavage et les scientifiques, les avaient classés dernier du classement dans tous les domaines. Et même s’il y a eu la fin de l’esclavage les Africains n’étaient pas libre, il n’avait pas de droit c’était le manque de liberté totale. Le conteur nous a montrer des photos de ses parent et de ses grands-parents qui ont connu l’esclavage. Pour lui la négritude est un cri de révolte identitaire des années 1930. Un auteur de poésie africain à défini la négritude comme une simple reconnaissance du fait d’être noir, de l’acceptation de ce fait, de notre destin, de notre culture, de notre histoire. Elle fait découvrir ce que l’on est. Il y a une vraie prise de conscience auprès des hommes noirs par eux même et veulent une simple reconnaissance de leur humanité pour être reconnu en tant que « homme » etne pas les traiter comme des bêtes sauvages. Il nous a fait aussi fait le rapport entre la négritude et la classe de STMG car les STMG ne sont pas considérer comme des élèves intelligents mais comme des élèves très dispersés et les met en bas de classe par rapport aux élèves de filière générale. Cela à apporter une prise de conscience. Pour illustrer cette partie de la négritude il cité le poète Aimé Césaire dans « cahier d’un retour au pays natal »il a lu l’extrait La libération du nègre.
La négritude est née de la rencontre afro-américaine et c’est une lutte pour le droit civique des Américains noirs et des antillais à Paris. Les noirs n’étaient pas considérés comme des hommes ils venaient de subir l’esclavage et les scientifiques, les avaient classés dernier du classement dans tous les domaines. Et même s’il y a eu la fin de l’esclavage les Africains n’étaient pas libre, il n’avait pas de droit c’était le manque de liberté totale. Le conteur nous a montrer des photos de ses parent et de ses grands-parents qui ont connu l’esclavage. Pour lui la négritude est un cri de révolte identitaire des années 1930. Un auteur de poésie africain à défini la négritude comme une simple reconnaissance du fait d’être noir, de l’acceptation de ce fait, de notre destin, de notre culture, de notre histoire. Elle fait découvrir ce que l’on est. Il y a une vraie prise de conscience auprès des hommes noirs par eux même et veulent une simple reconnaissance de leur humanité pour être reconnu en tant que « homme » etne pas les traiter comme des bêtes sauvages. Il nous a fait aussi fait le rapport entre la négritude et la classe de STMG car les STMG ne sont pas considérer comme des élèves intelligents mais comme des élèves très dispersés et les met en bas de classe par rapport aux élèves de filière générale. Cela à apporter une prise de conscience. Pour illustrer cette partie de la négritude il cité le poète Aimé Césaire dans « cahier d’un retour au pays natal »il a lu l’extrait La libération du nègre.
Puis l’engagement,c’était une
politique pour les indépendances, la liberté des peuples, des pays et de
dénoncer la colonisation. Les poètes africains ont été sous le choc des faits
de la colonisation c’est-à-dire du mal, les abus qu’on les avaitfaits etc… On y
trouve aussi la désillusion de l’indépendance car il s’attendait à être libre comme
dans le poème de Bernard Dadié dans, Nous avons dansé.
Enfin l’ouverture,c’est une
ouverture sur le monde. Monsieur Yapi nous a lu quelques pème de Francis Bebey Ma
vie est une chanson ; Patrice A la princesse ; ou encore Bernard
DadiéSur la route.
A la fin nous avons participé avec toute la classe à la fable de La Fontaine « la Cigale de la Fourmi » qu’il a revisité à sa façon et c’était très amusant
A la fin nous avons participé avec toute la classe à la fable de La Fontaine « la Cigale de la Fourmi » qu’il a revisité à sa façon et c’était très amusant
Ce qui m’a touchée c’est lorsqu’il
a parlé de la négritude car je ne pensai pas que c’était encré dans la mémoire
de certains africains à ce point là et même que les poètes ont décidé d’en
parler, j’ai vraiment eu de la peine car finalement tous les êtres humains sont pareils
et ce n’est pas parce que on est différent qu’ont doit mettre des limites aux
autres personnes différentes de nous-même. Je pense que je pourrai en parler lors de
l’oral du bac de français quand il y aura une question sur la poésie. Cette
rencontre m’a plu et m’a montré une nouvelle facette
de la poésie en général et africaine.
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